Article d’El Païs
Cientos de refugiados acampan ante la oficina de Extranjería de Bruselas
Cientos de refugiados acampan ante la oficina de Extranjería de Bruselas
« A Bagdad, je gagnais ma vie grâce à la chanson. Les terroristes islamistes s’en prennent aux musiciens comme moi. Pour rester en vie, je devais partir. »
Yasser vient de Baghdad, où depuis des années il a subi les conflits interconfessionnels entre Sunnites et Chiites, qui l’ont notamment conduit à devoir arrêter ses études.
« Dans mon pays j’étais institutrice. Nous appartenions à la classe moyenne, nous avions une maison et une voiture. »
D’un point de vue juridique, il n’y a pas de risque pour les candidats réfugiés hébergés chez des particuliers de perdre leur droit à l’aide matérielle durant la phase de […]
Mohamed a quitté la Syrie il y a un an pour fuir la guerre. Il était étudiant en droit et travaillait dans un commerce pour payer ses études.
« Je travaillais dans un laboratoire de soins dentaires, j’avais une bonne situation là-bas. Mais les bombardements ont détruit notre quartier. La plupart de nos amis sont décédés. »
« Isis took everything from us: our properties, our cars, our houses. So we had no home left. »
« Comment peut-on se sentir mère si on n’est même plus capable d’assurer la sécurité de ses propres enfants ? Lorsque l’on a vécu les bombardements, la vie n’est plus jamais pareille. »